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Auteur Jacqueline Lichtenstein |
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Titre : La couleur éloquente : rhétorique et peinture à l'âge classique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Lichtenstein, Auteur Editeur : paris : Flammarion Année de publication : 2003 Collection : Champs num. 641 Importance : 287 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 18 cm Note générale : Bibliogr. p. 271-281. Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Peinture Esthétique 17e siècle Rhétorique 1500-1800 Art Philosophie 17e siècle Résumé : L'impuissance des mots à dire la couleur et les émotions qu'elle suscite, ce lieu commun de tous les discours sur la peinture, traduit un désarroi plus fondamental devant une réalité sensible qui déroute les procédures habituelles du langage. C'est pourquoi, fascinée par la peinture, la pensée philosophique s'est toujours brulée au feu de son coloris. Lorsqu'elle quittait le terrain prudent des théories abstraites qui réfléchissaient sur les finalités ou les modalités de l'art en général pour traiter, non pas des oeuvres, elle s'y est peu risquée, mais de la représentation plastique, c'était souvent pour y privilégier le dessin, qui a toujours trouvé dans le «parti des philosophes» ses plus ardents défenseurs. La couleur éloquente : rhétorique et peinture à l'âge classique [texte imprimé] / Jacqueline Lichtenstein, Auteur . - paris : Flammarion, 2003 . - 287 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Champs; 641) .
Bibliogr. p. 271-281. Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Peinture Esthétique 17e siècle Rhétorique 1500-1800 Art Philosophie 17e siècle Résumé : L'impuissance des mots à dire la couleur et les émotions qu'elle suscite, ce lieu commun de tous les discours sur la peinture, traduit un désarroi plus fondamental devant une réalité sensible qui déroute les procédures habituelles du langage. C'est pourquoi, fascinée par la peinture, la pensée philosophique s'est toujours brulée au feu de son coloris. Lorsqu'elle quittait le terrain prudent des théories abstraites qui réfléchissaient sur les finalités ou les modalités de l'art en général pour traiter, non pas des oeuvres, elle s'y est peu risquée, mais de la représentation plastique, c'était souvent pour y privilégier le dessin, qui a toujours trouvé dans le «parti des philosophes» ses plus ardents défenseurs. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 440/17041 440/17041 Périodique Lettres et des Langues indéterminé Disponible 440/17042 440/17042 Périodique Lettres et des Langues indéterminé Disponible 440/17043 440/17043 Périodique Lettres et des Langues indéterminé Disponible 440/17044 440/17044 Périodique Lettres et des Langues indéterminé Disponible 440/17045 440/17045 Périodique Lettres et des Langues indéterminé Disponible 440/17046 440/17046 Périodique Lettres et des Langues indéterminé Disponible
Titre : La couleur éloquente : rhétorique et peinture à l'âge classique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline Lichtenstein, Auteur Editeur : paris : Flammarion Année de publication : 2003 Collection : Champs num. 641 Importance : 287 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-080099-2 Note générale : Bibliogr. p. 271-281. Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : Peinture Esthétique 17e siècle Rhétorique 1500-1800 Art Philosophie 17e siècle Résumé : L'impuissance des mots à dire la couleur et les émotions qu'elle suscite, ce lieu commun de tous les discours sur la peinture, traduit un désarroi plus fondamental devant une réalité sensible qui déroute les procédures habituelles du langage. C'est pourquoi, fascinée par la peinture, la pensée philosophique s'est toujours brulée au feu de son coloris. Lorsqu'elle quittait le terrain prudent des théories abstraites qui réfléchissaient sur les finalités ou les modalités de l'art en général pour traiter, non pas des oeuvres, elle s'y est peu risquée, mais de la représentation plastique, c'était souvent pour y privilégier le dessin, qui a toujours trouvé dans le «parti des philosophes» ses plus ardents défenseurs. La couleur éloquente : rhétorique et peinture à l'âge classique [texte imprimé] / Jacqueline Lichtenstein, Auteur . - paris : Flammarion, 2003 . - 287 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Champs; 641) .
ISBN : 978-2-08-080099-2
Bibliogr. p. 271-281. Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Peinture Esthétique 17e siècle Rhétorique 1500-1800 Art Philosophie 17e siècle Résumé : L'impuissance des mots à dire la couleur et les émotions qu'elle suscite, ce lieu commun de tous les discours sur la peinture, traduit un désarroi plus fondamental devant une réalité sensible qui déroute les procédures habituelles du langage. C'est pourquoi, fascinée par la peinture, la pensée philosophique s'est toujours brulée au feu de son coloris. Lorsqu'elle quittait le terrain prudent des théories abstraites qui réfléchissaient sur les finalités ou les modalités de l'art en général pour traiter, non pas des oeuvres, elle s'y est peu risquée, mais de la représentation plastique, c'était souvent pour y privilégier le dessin, qui a toujours trouvé dans le «parti des philosophes» ses plus ardents défenseurs. Exemplaires
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